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    Bien avant Charlemagne, Jules César ou même Hannibal, l'un des plus grands conquérants de l'Antiquité fut certainement Alexandre III dit « le Grand ». Alexandre était fils de roi et a été élevé comme tel, ayant même eu le grand Aristote pour précepteur. Fils du roi de Macédoine ( Grèce du Nord ), Philippe II et de la fille du roi des Molosses ( en Epire, Albanie actuelle, le pays d'Achille qu'il vénérera ), il naît le 21 Juillet 356 avant JC. Son père est en guerre contre les Perses ( Iran actuel ) et commence à rassembler toutes les forces macédoniennes pour en finir avec eux, lorsqu'il est assassiné en - 336. Alexandre, qui n'a alors que 20 ans, est proclamé roi et il jure de poursuivre l'œuvre de son père. C'est le début d'une formidable conquête.

    Après avoir maté les rebellions internes, de Thèbes notamment, et laissé la surveillance de la Grèce aux soins d'Antipater, avec les contingents les plus sûrs de l'armée, il part, en compagnie de Ptolémée, pour l'Asie (334) avec une armée de 35.000 fantassins ( organisés en phalanges ) et 5.000 cavaliers. Chef entraînant et fougueux, souvent colérique, il n'hésite pas à risquer sa vie, ce qui fait l'admiration de ses soldats. Débarquant à Troie, à l'entrée du détroit des Dardanelles, il met les Perses en fuite après une ardente mêlée de cavalerie mais avant de les poursuivre, il s'empare des villes de la côte ( turque ) pour éviter qu'elles ne servent de base de départ pour une conquête de la Grèce. Puis, il s'enfonce à l'intérieur des terres, bouscule avec fougue l'immense armée de Darius dans la plaine d'Issos, obligeant celui-ci à fuir. Désormais, les routes de la Syrie et de l'Egypte lui sont ouvertes et plusieurs villes se rendent. Alexandre s'acharnera plusieurs mois sur Tyr qui résistait sur son île mais il s'en empare finalement.

    En Egypte, Alexandre est accueilli en libérateur car les Perses y sont détestés. Il reçoit de leurs mains le titre de « fils d'Amon », porté jadis par les Pharaons et fonde la ville d'Alexandrie qu'il souhaite helléniser en y plaçant des administrateurs macédoniens. Considéré comme un Dieu, enivré par ses succès, il recommence en 331 la lutte contre Darius, l'empereur de Perse, dont il veut prendre la place. Il franchit le Tigre et l'Euphrate sans trop de résistance car Darius l'attend plus à l'Est, près de Gaugamèle. Utilisant sa tactique habituelle d'enveloppement de l'aile droite par la cavalerie, Alexandre rompt le front de l'armée perse et poursuit vers l'Est. Reçu comme roi de l'Asie à Babylone et à Suse, il incendie les palais de Persépolis qui résiste et repart, en marche forcée, à la poursuite de Darius. Lorsque celui-ci est assassiné par un satrape, Alexandre, qui l'a enfin rejoint, fait rendre les honneurs royaux à sa dépouille.

    Poussant toujours vers la Perse orientale pour la soumettre ( Afghanistan, Turkestan et Béloutchistan d'aujourd'hui ), il fatigue ses troupes dans des terrains difficiles mais il ne veut pas s'arrêter tant qu'il n'a pas atteint l'Inde, pays magique et inconnu. En descendant le bassin de l'Indus, il va se heurter au roi belliqueux Poros qui lui tient tête avec notamment une armée montée sur éléphants. Cette dernière bataille, si pénible, en pleine mousson, aux portes du Gange qui fait frontière avec le monde connu d'alors, est la bataille de trop pour son armée qui se mutine et exige de rebrousser chemin. Alexandre doit s'exécuter.

    Le retour, en trois colonnes parallèles, s'avère difficile et Alexandre, pour redonner du moral aux troupes, organise « les noces de Suse » au cours desquelles 10.000 soldats, 80 généraux ( ses diadoques ) et le roi lui-même, prennent une épouse de souche persane. Ce sera ensuite Babylone où il entreprend de grands travaux mais ses rêves d'autres expéditions sont brutalement brisés par une fièvre maligne ( malaria, typhoïde ? ) qui l'emporte en 10 jours, en Juin 323 avant JC.

    Il aura vécu 33 ans, comme le Christ, et conquis en 10 ans seulement, tout le Moyen-Orient et l'Asie centrale jusqu'au Pakistan actuel. Il a fait pénétrer, dans ces pays lointains, la civilisation grecque dont les traces sont encore visibles de nos jours. Son espoir était de mélanger les peuples, les Grecs comme les Barbares orientaux, pour n'en faire qu'un et l'administrer avec des gouverneurs locaux. Partout où il est passé, bien qu'il se soit constitué un formidable butin de guerre, il a créé de nouvelles Alexandrie, il a frappé monnaie, développé l'agriculture et l'irrigation, ouvert des routes et intensifié les échanges commerciaux, tout en conservant les coutumes locales.

    Même si son empire va rapidement se disloquer après lui, les conquêtes d'Alexandre ont permis à la pensée, l'art, la littérature et à la société grecques de se transmettre aux Romains et donc à toute l'Europe.

    On comprend pourquoi Alexandre le Grand a été le seul à pouvoir dénouer ( certes d'un coup d'épée ) le « nœud gordien » fixant le joug d'un char. Son entrelacement complexe, disait la légende, ne serait dénoué que par le futur maître de l'Asie.

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    Contrairement à ce qui est souvent expliqué pour condamner la passivité des Allemands face aux atrocités commises par Hitler pendant la seconde guerre mondiale, les opposants allemands au régime nazi ont été nombreux et d'autant plus courageux que le régime tenait fermement les commandes de l'Etat. Pas moins de 30 attentats ont été préparés dès 1936 pour mettre fin aux visées extravagantes du Führer. A chaque fois, il en a réchappé grâce à la chance et au fait que ses déplacements étaient annoncés au dernier moment.

    Le dernier complot fomenté par l'équipe de la « Schwarze Kapelle », en 1944, complot appelé « Opération Walkyrie », prévoit la mort de Hitler et de ses proches collaborateurs dans un attentat à l'explosif, suivi d'un coup d'état pour prendre le pouvoir politique et militaire du Reich ( les ramifications dans toute l'Allemagne couvrent déjà tous les niveaux ) et faire la paix avec les pays occidentaux pour pouvoir appliquer l'effort de guerre contre la Russie.

    Parmi les conjurés, figurent plusieurs hauts gradés comme les généraux Beck, Goerdeler, le maréchal Erwin Rommel, le « Renard du désert » qui a vite compris que la guerre était perdue et surtout le comte Claus von Stauffenberg, 36 ans, récemment affecté comme colonel à l'état-major de l'armée de réserve et, à ce titre, accepté à la table de décisions. De fervent partisan d'Hitler, cet aristocrate n'a pas supporté la brutalité des SS sur le front Est, pendant l'hiver 1941/42 et il est devenu le plus déterminé des opposants.

    Ayant rassemblé ses généraux ( manquent Goering et Himmler ) au Grand Quartier Général de Rastenburg, en Prusse orientale, le 20 Juillet 1944, Hitler veut se faire expliquer la situation sur le front russe devant une grande carte murale. Stauffenberg a repéré la place où il doit siéger autour de la table de chêne qui équipe la « Wolfsschanze », la tanière du loup. Mais Hitler avance la réunion d'une demi-heure car il doit recevoir le Duce Mussolini dans l'après-midi. Pris de court, Stauffenberg prétexte un changement de chemise et se rend dans sa chambre avec son aide de camp ( qu'il a obtenu depuis qu'il a perdu un bras en Libye ), afin d'actionner la bombe cachée dans une sacoche. Puis il rejoint la salle de conférence et dépose la sacoche contre un pied de table, non loin de Hitler. Le compte à rebours du détonateur à retardement lui laisse une dizaine de minutes. Il fait mine d'avoir à téléphoner et quitte la pièce où, bientôt, une formidable explosion a lieu. Il lit sur sa montre 12 h 42, observe le bungalow soufflé et quelques corps de soldats éjectés et court prendre son avion pour Berlin.

    Mais béni du sort, une fois encore, Hitler ne fait pas partie des 4 morts et des blessés graves. Il a les cheveux grillés, les tympans percés, le bras paralysé mais c'est tout. Il a été sauvé par le fait qu'un officier a déplacé la sacoche de Stauffenberg qui le gênait et l'a mise derrière le gros pied de bois, côté opposé à Hitler et par le fait que Claus von Stauffenberg, dérangé par un sergent pendant la préparation de la bombe n'a pu actionner qu'un seul des deux détonateurs. Ne sachant pas que le deuxième pain de plastic aurait explosé aussi, malgré cela, il l'a enlevé de la serviette, d'où un effet destructeur amoindri, d'autant que la réunion s'était déplacée, à cause de la chaleur, du bunker initialement prévu ( et où l'effet de souffle aurait été plus fort ) vers un chalet en bois attenant.

    Rejoignant les autres conjurés, Stauffenberg apprend que ceux-ci n'ont pas osé déclencher le soulèvement, ne sachant pas, au vu des appels contradictoires, si Hitler fut bien mort. L'attentat et la conspiration ont échoué. La répression sera terrible, mêlant tortures, humiliations et exécutions en règle, dont des généraux de la Wehrmacht et des ministres. 600 personnes, soit trois fois plus que les rebelles, seront abattues dans les semaines qui suivront et des milliers emprisonnées en vue de leur exécution ultérieure, après une parodie de jugement. Les principaux organisateurs de l'Opération Walkyrie seront « suicidés » sur le champ.

    Rescapé de l'attentat, Hitler mènera l'Allemagne jusqu'au bout de sa folie.

    Au moment où le dernier survivant de cet attentat, le baron von Boeselager, vient de s'éteindre, à 90 ans, on peut se demander ce qu'il serait advenu de l'Europe si l'opération avait réussi. Malheureusement, on ne découvre souvent les intentions des dictateurs qu'après les avoir aidés à s'installer légitimement sur le trône. Je ne vise personne ...

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    En ce 19 Juillet 1799, au beau milieu de l'expédition que Bonaparte mène en Egypte, l'officier français Pierre Bouchard exhume, au pied du fort Rashîd ( Rosette pour les Croisés), à l'embouchure du Nil, une stèle de basalte noir avec des inscriptions. Apparemment, trois écritures différentes ont été utilisées sur cette pierre, peut-être le même texte traduit pour des contemporains n'ayant pas la même langue. Sans le savoir, Bouchard vient de mettre la main sur un décret de Ptolémée V ( 196 av JC ) retranscrit en hiéroglyphique ( écriture sacrée des Pharaons ), en démotique ( ou hiératique ) et en grec, trois langues dérivées l'une de l'autre. C'est la fameuse « Pierre de Rosette » qui permettra à l'archéologue français Champollion de déchiffrer les hiéroglyphes égyptiens, ces représentations figuratives dont on a longtemps cru qu'elles n'étaient que des idéogrammes désignant l'image sculptée, alors que la langue est beaucoup plus complexe et transcrit aussi des sons et des idées. Hiéroglyphe vient de mots grecs signifiant « graver » et « sacré » et désignait les inscriptions des monuments pharaoniques que les Grecs ne savaient, pas plus que d'autres, déchiffrer.

    Jean-François Champollion, né en 1790 à Figeac dans le Lot, est très tôt un élève doué pour les langues étrangères qu'il collectionne à l'envie : hébreu, arabe, araméen, persan et syriaque. A 16 ans, il est pris en charge par son grand frère Joseph qui décide de financer les études de cet enfant prodigieux, à Grenoble puis Paris.

    Le retour de l'expédition égyptienne de Bonaparte lui fournira matière à aiguiser sa curiosité linguistique. En effet, les hiéroglyphes, apparus vers 3150 avant JC, disparaissent au IV° siècle après JC et avec eux leur signification. Pour percer le mystère de ces signes étranges, après 14 siècles, Champollion comprend qu'il lui faudra posséder la langue copte qui panache le grec avec des caractères démotiques, dernier stade de la simplification successive de l'écriture égyptienne. Patiemment, il s'en imprègne méthodiquement, dans son bureau de Paris. «  Je parle copte tout seul. C'est le vrai moyen de me mettre mon égyptien dans la tête  ». Il a entendu parler de la pierre de Rosette mais celle-ci a été confisquée par les Anglais avec les autres monuments rapportés de la campagne du Caire.

    D'ailleurs, c'est un Anglais, Thomas Young, médecin-physicien, qui prétend, en 1814, avoir percé le secret des cartouches de hiéroglyphes et avoir identifié les noms de plusieurs pharaons, en comparant les trois textes de la pierre de Rosette. Heureusement pour lui, Champollion qui avait du quitter les bibliothèques parisiennes pour Figeac après la chute de l'Empire, apprend que des copies de la pierre de basalte avaient été dessinées à l'intention de savants européens. Il les étudie en parallèle avec d'autres textes du livre des morts.

    Son poste de professeur d'histoire lui permet de poursuivre ses études sur les hiéroglyphes qu'il compare aux textes en hiératique, ancienne écriture abréviative et cursive. Il découvre l'importance de l'alphabet phonétique qui lie les mots dans la phrase ou définit les sons. En 1821, il déchiffre les premiers cartouches royaux dont celui de Ptolémée V puis celui de Cléopâtre sur la base de l'obélisque de Philae et sur un papyrus bilingue. Et, en Septembre 1822, reconnaissant grâce à sa méthode, les noms de Ramsès et de Thoutmosis sur un nouveau dessin rapporté du temple d'Abou Simbel par un archéologue, il est convaincu, après 15 années d'acharnement, d'en avoir trouvé les clefs et il écrit une lettre au secrétaire perpétuel de l'Académie des inscriptions et belles-lettres, M. Dacier, dans laquelle il fait part de sa découverte d'un système de déchiffrement des hiéroglyphes. «  C'est un système complexe » dira-t-il «  une écriture tout à la fois figurative, symbolique et phonétique, dans un même texte, une même phrase, je dirais presque dans un même mot  ». Sa communication est un succès qui ouvre les portes de l'égyptologie. En 1826, il est nommé conservateur du musée égyptien du Louvre.

    En 1828, après la visite des collections égyptiennes de Turin, Jean-François Champollion réalise enfin son rêve et part pour deux ans en Egypte où il est le premier à pouvoir lire l'égyptien ancien dans le texte. Il rapporte de ce voyage moult données complémentaires et quelques objets. C'est, bien sûr, la chaire d'Antiquité égyptienne au Collège de France qui l'attend à Paris au retour mais, épuisé par ses travaux, il meurt le 04 Mars 1832, à l'âge de 42 ans, sans avoir eu le temps d'achever sa Grammaire égyptienne et son Dictionnaire égyptien. On peut encore lui rendre visite au cimetière du Père Lachaise à Paris.

    Quant à la pierre de Rosette, exposée au British Museum, que l'amiral Nelson avait dérobée aux Français, on peut rêver qu'elle retraverse la Manche un jour, peut-être en même temps que le cercueil de Napoléon III ? Oui, vraiment je rêve !

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    Re-bonjour, les amis.

    C'est la rentrée.

    Je reprendrai donc mes billets journaliers dès demain.

    Je suis de retour après une semaine dans le Jura français où j'ai participé à la défense du VRAI site de la bataille d'Alésia, perdue par Vercingétorix, face à César, en 52 avant JC.

    Ceux qui sont passés en Bourgogne ont sans doute vu cette immense statue du chef gaulois trôner sur son piédestal, en haut de la colline du Mont Auxois, à Alise Sainte-Reine. Comme beaucoup, ils ont sûrement été abusés par les défenseurs de cette thèse invraisemblable qui aurait vu plus de 60.000 combattants et leurs chevaux séjourner pendant des mois sur un petit mamelon ridicule, sensé arrêter les légions du grand César dans sa retraite de Langres vers Genève et sa « Province ». Alise n'est d'ailleurs pas sur l'itinéraire mais très à l'Ouest.

    D'une part, il n'y a pas la place pour faire tenir ces milliers de gaulois sur cette petite surface mais, d'autre part, il n'y a rien de chaque côté de ce mont insignifiant pour empêcher les Romains de le contourner et de poursuivre leur route. En tout cas, le récit détaillé qu'en fait César lui-même, dans « La guerre des Gaules » ne s'applique en rien à ce terrain.

    Donc, Alésia ne s'est pas déroulé là où on vous le dit depuis Napoléon III mais des générations de prétendus experts scientifiques et d'archéologues cyniques et dédaigneux de la vérité vous vendent leurs livres ( qu'ils savent faux ) à prix d'or et traquent, avec persistance et véhémence, la moindre velléité de rétablissement de la vérité ( ce que fait, sans moyens, l'association dont je parlais au début ).

    Pour être convaincus qu'Alésia se situe dans le Jura, chez les Séquanes comme le dit César ( et non chez les Eduens d'Alise ), reportez-vous à cet excellent site :

    http://alesia.jura.free.fr/F_index.html

    Alise, dont seul le nom se rapproche de Alésia ( mais pas la topographie des lieux ), à été choisi par les envoyés de Napoléon III qui voulaient lui donner rapidement satisfaction dans sa recherche d'un haut fait d'armes historique qui ferait oublier ses déboires ( Sedan, le Mexique, etc ... ). Quelques preuves de vestiges romains ( il y en a partout en France ) ont été présentés à la hâte et le tour fut joué.

    Cette imposture, entretenue aux plus hauts échelons culturels nationaux, sera un jour démasquée mais l'omerta ( allant jusqu'à interdire les fouilles dans le Jura et faire pression sur Wikipedia pour que soit retirée illico toute correction des âneries qui y figurent ) se poursuit et les bonimenteurs officiels continuent à vendre leur mensonge, agrémenté de belles images mais de peu de cohérence avec la réalité décrite par les textes grecs et latins, en sus de César lui-même.

    Rejoignez moi dans cette association AAB-CEDAJ pour faire éclater LA vérité sur un fait majeur et fondateur de notre patrimoine historique. Quel beau challenge !

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    Pause.

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    Chers amis, je dois faire une nouvelle pause dans l'émission de mes bulletins journaliers.

    Je serai muet pendant une semaine.

    Alors, patience et merci pour votre fidélité.

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    En attendant, voici une photo de l'endroit où j'aimerais aller si je pouvais m'offrir des vacances.

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